Le chamanisme, ou l’alliance de la nature et de la spiritualité
Tradition universelle et ancestrale, le Chamanisme est la spiritualité la plus ancienne au monde, nous incitant à chercher le Divin en nous (contrairement à la religion, où le Divin, Dieu, est à l’extérieur).
C’est aussi une voie de cheminement personnel et spirituel qui nous reconnecte à la Nature et à ses règnes, et à notre propre Nature.
Cette sagesse ancestrale est plus que jamais d’actualité. De plus en plus de personnes ne veulent plus du monde « d’avant », mental et matérialiste, et ressentent le besoin de retrouver leurs racines, se reconnecter à leur intuition et retrouver le sens.
Après un enseignement de trois ans au Chamanisme Celte, Céline reçoit le nom initiatique de Shirma Shaya,
« la fleur du temps, celle qui rend le temps doux ».
Cette relation particulièrement intense et profonde à la nature, à l’invisible et aux émotions finit par lui mettre la puce à l’oreille : et si elle était hypersensible ?
L’hypersensibilité : quelques grammes de finesse dans un monde de brutes
De synchronicités en rencontres improbables, il ne se passe pas une semaine sans qu’elle entende parler de concepts comme « zèbre », HP (haut potentiel), surdoué émotionnel, surefficient mental, douance, multi–potentiel, « hyper » sensibilité / émotivité / empathie / acuité…
Évidemment (et c’est un indice probant qui n’échappera pas aux intéressés !), Céline explore le sujet de fond en comble. Des caractéristiques résonnent fortement : syndrome de l’imposteur, doute, grande émotivité́ et recherche constante d’émotions, tendance à l’anxiété, appétence pour la nouveauté et l’apprentissage, pensée en arborescence, manière de fonctionner basée sur la curiosité, avidité de savoirs, besoin fort d’authenticité, capacité à voguer d’un monde à l’autre, cerveau continuellement en ébullition…
Les synchronicités pleuvent, ses interrogations fondent comme neige au soleil. Elle comprend enfin, avec soulagement, pourquoi elle pense tant, pourquoi il lui est si difficile d’être ancrée dans le présent, de se recentrer sur l’essentiel, de lâcher prise et trouver la sérénité.
Elle comprend aussi pourquoi elle vit si intensément les émotions (à tel point que ses enfants lui avaient fait promettre de ne pas verser une larme au spectacle de fin d’année de l’école : impossible ! Heureusement, c’était en été, elle a pu se cacher derrière ses lunettes de soleil !)
Cela lui permet aussi d’assumer sa soif insatiable d’éternelle apprenante, et son côté « hyper » : hypersensible, hyperémotive, hyper susceptible, hyper cogitante, peut-être, elle se sent surtout hyper… vivante !